De Saint-Rémy lès Chevreuse à Limours, histoire d'une ligne disparue
Sources utilisées : Gaston Jacob, 'La ligne de Sceaux, 140 ans
d'histoire, La Vie du Rail, 1987; Jean Robert, 'Notre Métro', 1983
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_de_Sceaux
http://www.limours.fr/Le-patrimoine-ferroviaire#.XwB7VYV6sgU
http://archivchemindefer.free.fr/
et le site de Yves Dessaux : http://ligne.de-sceaux.pagesperso-orange.fr/
La Cie. du chemin de fer de Paris à Orléans (P.0.) a racheté
la ligne de Paris à Orsay le 18 juin 1855. À titre de compensation pour une population qui risquait de se voir
privée de chemin de fer, il fut proposé de construire un tronçon
d'Orsay à Limours où une correspondance serait assurée avec
la ligne Paris à Dourdan et Chartres. Un décret de 1862 entérine ce
prolongement de la ligne de Sceaux via
Saint-Rémy-lès-Chevreuse et une rampe de 20 mm/m dans le vallon de
Saint-Paul pour atteindre Limours sur le plateau beauceron.
L'inauguration de ce tronçon construit en voie unique a lieu le 26 août 1867.
Saint-Rémy lès Chevreuse au temps de la vapeur, circa 1910 (coll. Yves Dessaux
Extrait de G. Jacob, 'La ligne de Sceaux, 140 ans d'histoire', La Vie du Rail, 1987
Saint-Rémy terminus du RER B aujourd'hui, vu depuis l'ancien PN de la route des Molières
Un train descendant du vallon St - Paul au niveau du chateau de
Coubertin au temps de la vapeur (J. Robert, 'Notre métro', p. 402, 1983)
Saint Rémy et le vallon de Saint-Paul d'après une carte d'état-major de 1896
La vallon Saint-Paul : ancien PN et passage inférieur de l'ancienne emprise ferroviaire transformée en piste cyclable
La gare de Boullay circa 1910 (G. Jacob) et le site aujourd'hui avec l'extrémité de la piste
Gare de Boullay les Troux, vestige du quai à marchandises
Entre Boullay et Pecqueuse
Limours, la gare circa 1910 (coll. Noel Bouvet)
Le faisceau de la gare Limours dans l'entre-deux -guerres
surplombé par le viaduc de la ligne Paris - Chartres (C. Jacob) et le BV transformé
aujourd'hui en base de la DDE
Extrait de G. Jacob, Op. cit.
La traction au temps de la vapeur (G. Jacob, Ibid.)