Photographies extraites de H. J. Wenzel et J. Stockklausner 'Lokomotiven ziehen in den Krieg', Verlag Josef Otto Slezak, Wien, 1977



Ci dessous, en septembre 1941, Rolleiflex en bandoullière un gradé de la WVD Bruxelles dans le beffroi de la gare de Laon. Le train de commandement de la direction des transports est garé sur la voie de gauche.


Accidents ou sabotages ?


Juillet 1941 : poussés par la 150 B Nord deux tombereaux ont sauté le butoir en gare de Fourmies, à droite : un vérin de remise sur rails.
Au milieu, une 150 E 134, le nez dans le sable à la suite, dit la légende, d'une erreur d'aiguillage. Elle ajoute que la remise sur rails a pris une quinzaine de jours. Rappelons qu'à cette date, l'opération Barbarossa, l'invasion de la Russie soviétique a commencé un mois plus tôt.


Hiver 1943-44 : suite aux opérations aériennes alliées la marquise de la gare de Calais n'est plus qu'un squelette métallique sous lequelle manœuvre une 040 TG Nord.

Pour se protéger de l'attaque des 'jabos', ce train de troupes engagé entre Lille et Dunkerque comporte un wagon de flak avec ses deux artilleurs emmitouflés. On note la présence d'un wagon plat intercalé entre les voitures à portières latérales destiné à dégager l'angle de tir.


Le 2 mai 1944, la Résistance fait sauter le rapide Paris-Lyon. Sur la photo du haut on distingue la pacific couchée sur le flanc.


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